L’envie d’écrire vient à tout moment.
Après faut être patient pour aboutir.
Pour ma première nouvelle, j’ai posé les idées, le synopsis, début des années 80. L’envie d’écrire était déjà présente.
La vie a fait que cette idée est restée dans les cartons. De temps en temps je relisais ce qui j’avais écrit, je complétais, rectifiais quelques points.
C’est fin des années 90 que j’ai eu l’opportunité de vraiment la poser par écrit et d’aller jusqu’à faire éditer une dizaine d’exemplaires, remis à la famille.
Deux anecdotes m’ont fait plaisir :
En premier l’éditeur qui, quand je lui ai porté le texte ne m’a pas beaucoup encouragé ! Puis, quand il m’a remis les exemplaires commandés, m’a dit qu’il serait intéressé pour publier ma nouvelle dans un recueil.
La deuxième surprise est venue de mon beau-frère. Personne qui ne lit que des revues ou livres liés à son métier. Quand il a eu ma nouvelle, il l’a ouverte, a lu les premières pages et ne s’est pas arrêté avant la fin.