« Homo Vampiris : Le jour où tout commença » s’est présenté timidement à moi, comme une petite histoire destinée uniquement à mes yeux. Et puis, mes personnages m’ont pris la main en me chuchotant que je pouvais en faire un roman, ils m’ont ensorcelée jusqu’à ce que j’appuie sur le bouton « publier » ! Étonnamment, l’essai de N.Y. Harari « Homo sapiens » n’est pas étranger à ce livre, il a guidé mes réflexions et mon imagination. J’ai eu envie de créer un peuple humanoïde ayant évolué aux côtés d’Homo Sapiens, sans que ce dernier le sache, et d’imaginer ce que cela aurait pu donner. J’aime mettre mes personnages face à des rencontres improbables, voir leurs réactions, leur ouvrir l’esprit et détruire des préjugés.
Pour mon second roman, « Les reflets de Rosaline », ce sont sans doute mes réflexions personnelles après la lecture de « Homo Sapiens » de N.Y. Harari et « Le miracle Spinoza » de F. Lenoir qui ont guidé mon crayon lorsque je prenais des notes. Ensuite, d’autres expériences plus personnelles sont venues s’y mêler, et enfin mon imagination débordante !